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(L'expression directe des Citoyens)
Hommage à Martin MALUZA Wasiludion Mavula, représentant du CIRAC à l'ONU décédé à Genève le 17 novembre 2020 des suites du Covid-19
Crée le 28/11/2020 à 16:59:02
Mis à jour le 28/11/2020 à 16:59:02

Il y a beaucoup de bien à dire sur Martin Maluza, mais comment pouvons nous la faire reposer en paix sans restituer son brillant parcours.
Hommage à Martin MALUZA qui nous a quitté le 17 novembre 2020 à Genève à l'âge de 69 ans des suites du Covid.19
Martin MALUZA WASILUDIO MAVULA a assuré pendant plus d’une décennie l’intérim du Vice Président du Comité International pour le Respect et l'application de la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des peuples (CIRAC-ICRAC) à Genève et de la représentation à l’ONU de l’Organisation Non Gouvernementale créée en juin 1988 à Paris par Me MASSENGO-TIASSE et Me Jean Michel SCHARR et qui a placé ses bureaux en juin 1989 à Genève, grâce au Docteur Charles GRAVES à l'époque Directeur exécutif de la CINPROS, ce dernier deviendra le Vice-Président.
On emprisonne pas l’esprit d’un mort, il faut le libérer, selon nos coutumes Kongos en particulier et bantous en général, pour que l’âme du défunt soit en paix auprès de ses ancêtres et de l’Eternel.
C’est pour cela que je lui rends un vibrant hommage en tant que Président fondateur du CIRAC, frère et ami qui a initié Martin MALUZA sur les questions des droits de l’homme et qui lui a permis d’assurer l’intérim de la Vice- Présidence du CIRAC et assurer la représentation de l'ONG à l'ONU pendant mon indisponibilité du à mes fonctions au Congo Brazzaville, . Sa disparition laisse un vide à sa famille et à ses amis.
Oui Martin MALUZA, refugié Zaïrois en Suisse dans les années 1980 deviendra défenseur des droits de l’homme grâce à notre action en 1988.
Jean Michel SCHARR, Charles Graves et moi même, nous l’avons fait intéresser aux questions de promotion et protection des droits de l'homme, au moment où il était bénévole chargé de la coordination de l’Association Bonne volonté mondiale à Genève à Varembé en Suisse.
Licencié en philosophie et Diplômé de l’Institut Universitaire d’Etudes du développement à Genève, il n’a pu passer son doctorat en philosophie à cause de ses activités au sein de plusieurs organisations humanitaires et éducatives.
Martin MALUZA était né à Mbu au Zaïre le 11 novembre 1951. Il est mort le 17 novembre 2020 à l’âge de 69 ans des suites du Covid-19 alors qu’il souffrait déjà depuis plusieurs années était confronté à la maladie, qu'il arrivait à surmonter. C'est avec une grande stupeur que nous avons appris son décès le 17 novembre 2020.
Il a été inhumé à Genève le vendredi 27 novembre 2020. Paix à son Âme et au nom des membres du CIRAC et à mon nom personnel j’exprime les sincères condoléances à sa famille et ses proches.
Je me souviens de la réponse à sa correspondance où il va souscrire le 3 juin 1988 au projet de la création d’une association internationale oeuvrant pour le respect et l’application de la Charte Africaine des droits de l’Homme et des peuples au lendemain de la mise en place de la commission africaine des droits de l’homme et des peuples.
Je cite : « Maître et cher frère, Je te remercie infiniment de ta lettre du 29 mai dernier qui m’est parvenue et qui a particulièrement retenu toute mon attention.
Je suis très heureux de ce que tu aies pensé à m’associer à ce généreux projet de création d’une Association Internationale axée sur le respect et l’application de la Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples. Ce projet est non seulement actuel, mais il m’apparaît comme extrêmement urgent et il mérite bien que de nombreux cerveaux et que les bonnes volontés disponibles se mobilisent pour sa concrétisation.
Je souscris donc sans réserve à ce projet et te confirme par la présente ma participation à la première assemblée constitutive qui aura lieu le 10 juin ici à Genève.
Je te prie de bien vouloir trouver en annexe la Fiche de Renseignements pour les Membres Fondateurs dûment remplie.
En te remerciant encore une fois de cette expression sincère de solidarité, je te pris de croire, Maître et cher frère, à l’assurance de ma considération bien distinguée.
Cette organisation sera implantée à Genève grâce au Docteur Charles GRAVES de la CINPROS qui a voulu encadrer Martin MALUZA dès la mise en place du siège de Genève du CIRAC qui dépend juridiquement du Secrétariat Exécutif international installé à Paris.
En effet, le CIRAC est une Organisation Non Gouvernementale créée à Paris en juin 1988 (Journal officiel de la République Française du 03 Août 1988).
Pour la représentation au sein des Nations Unies, le CIRAC sera basée à Genève et obtiendra le statut consultatif à l’ECOSOC, après les problèmes de santé du Vice Président Charles Graves et mon indisponibilité à suivre les dossiers et mener à bien les activités dès novembre 2004, Martin MALUZA a été délégué pour assurer l’intérim. C’est ce qu’il a fait justement fait. A la création du Comité International pour le Respect et l'Application de la Charte Africaine des droits de l'homme et des peuples (CIRAC) en 1988, Martin MALUZA a toujours bien assuré ses fonctions de chargé des représentations nationales, ce qui lui a permis de nouer beaucoup de contacts.
Nous avions cependant condamné ses prises de positions et ses maladresses sur le droit à l’autodétermination et l’indépendance du Sahara occidental. Contrairement à la position affirmée de notre ONG qui a toujours soutenu les aspirations du peuple Sahraoui. A deux reprises une délégation du CIRAC conduite par Me MASSENGO-TIASSE Président du conseil d’Admnistration et Me Jean Michel SCHARR, Secrétaire Général du bureau exécutif de Paris avaient effectué deux voyages (1989 et 1990) et rencontré le président Mohamed ABDELAZIZ Secrétaire général du front Polisario, Président de la RASD.
Nous agissions conformément aux orientations et des positions du CIRAC en faveur des droits des peuples comme le précise la Charte Africaine dont nous assurons la promotion et veillons à la protection.
Le CIRAC depuis sa création s’est toujours opposé à la croisade annexioniste du Maroc qui revendique la récupération du territoire du peuple libre sahraoui.
Dernier territoire à décoloniser depuis 1975 selon l’OUA ; en 1976 le front Polisario s’autoproclame comme un Etat et siège en tant que membre de l’OUA. Au 20ème sommet de l’OUA le 12 novembre 1984 à Addis Abeba, le Roi Hassan II se retire de l’OUA.
Le 28ème sommet de l’UA se tient à Addis Abeba du 30 au 31 janvier 2017. Offensive de charme et chantage diplomatique du Maroc auprès des Etats membres. Pour réintégrer l’UA, il faut l’exclusion représentants du peuple Sahraoui au sein de cette organisation continentale ;
La position du CIRAC n’a jamais varié pour le soutien des peuples à l’autodétermination ; cependant l’équipe du CIRAC assurant l’intérim avait pris faits et causes de la position du Maroc, en totale contradiction avec les aspirations de protection des minorités dans le monde.
Un cessez-le feu avait été signé en 1991 entre le Maroc et le Polisario
Le conflit s’est ravivé depuis début novembre 2020, entraînant une soudaine recrudescence des violences et de l’alignement des troupes Marocaines le long de la frontière entre le Maroc et la Mauritanie en violation des accords de cessez-le-feu de 1991. Le prétexte au déploiement des troupes Marocaines est le contrôle sud de l’unique point de passage terrestre. Le Polisario estimant le blocage de cette route comme légitime.
Le CIRAC réaffirme son engagement d’être aux côtés des peuples qui luttent pour la liberté et la dignité des peuples dans le monde.
Il y a certainement beaucoup de bien à dire sur Martin MALUZA qui a tenu la maison CIRAC pendant notre indisponibilité due à nos charges d'avocat de parlementaire et de président du groupe Forum. Qu'il repose en paix. Nous ne l'oublions pas.
Dès que la situation sanitaire permettra la reprise des activités une nouvelle équipe sera mise en place et un nouveau représentant à Genève sera nommé ultérieurement. Les membres du CIRAC doivent se manifester auprès du président du Conseil d'Administration en s'adressant à maurice.mtiasse@frtdh.org
Le 28 novembre 2020.
Me Maurice MASSENGO-TIASSE
Président Fondateur du CIRAC
Martin MALUZA WASILUDIO MAVULA a assuré pendant plus d’une décennie l’intérim du Vice Président du Comité International pour le Respect et l'application de la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des peuples (CIRAC-ICRAC) à Genève et de la représentation à l’ONU de l’Organisation Non Gouvernementale créée en juin 1988 à Paris par Me MASSENGO-TIASSE et Me Jean Michel SCHARR et qui a placé ses bureaux en juin 1989 à Genève, grâce au Docteur Charles GRAVES à l'époque Directeur exécutif de la CINPROS, ce dernier deviendra le Vice-Président.
On emprisonne pas l’esprit d’un mort, il faut le libérer, selon nos coutumes Kongos en particulier et bantous en général, pour que l’âme du défunt soit en paix auprès de ses ancêtres et de l’Eternel.
C’est pour cela que je lui rends un vibrant hommage en tant que Président fondateur du CIRAC, frère et ami qui a initié Martin MALUZA sur les questions des droits de l’homme et qui lui a permis d’assurer l’intérim de la Vice- Présidence du CIRAC et assurer la représentation de l'ONG à l'ONU pendant mon indisponibilité du à mes fonctions au Congo Brazzaville, . Sa disparition laisse un vide à sa famille et à ses amis.
Oui Martin MALUZA, refugié Zaïrois en Suisse dans les années 1980 deviendra défenseur des droits de l’homme grâce à notre action en 1988.
Jean Michel SCHARR, Charles Graves et moi même, nous l’avons fait intéresser aux questions de promotion et protection des droits de l'homme, au moment où il était bénévole chargé de la coordination de l’Association Bonne volonté mondiale à Genève à Varembé en Suisse.
Licencié en philosophie et Diplômé de l’Institut Universitaire d’Etudes du développement à Genève, il n’a pu passer son doctorat en philosophie à cause de ses activités au sein de plusieurs organisations humanitaires et éducatives.
Martin MALUZA était né à Mbu au Zaïre le 11 novembre 1951. Il est mort le 17 novembre 2020 à l’âge de 69 ans des suites du Covid-19 alors qu’il souffrait déjà depuis plusieurs années était confronté à la maladie, qu'il arrivait à surmonter. C'est avec une grande stupeur que nous avons appris son décès le 17 novembre 2020.
Il a été inhumé à Genève le vendredi 27 novembre 2020. Paix à son Âme et au nom des membres du CIRAC et à mon nom personnel j’exprime les sincères condoléances à sa famille et ses proches.
Je me souviens de la réponse à sa correspondance où il va souscrire le 3 juin 1988 au projet de la création d’une association internationale oeuvrant pour le respect et l’application de la Charte Africaine des droits de l’Homme et des peuples au lendemain de la mise en place de la commission africaine des droits de l’homme et des peuples.
Je cite : « Maître et cher frère, Je te remercie infiniment de ta lettre du 29 mai dernier qui m’est parvenue et qui a particulièrement retenu toute mon attention.
Je suis très heureux de ce que tu aies pensé à m’associer à ce généreux projet de création d’une Association Internationale axée sur le respect et l’application de la Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples. Ce projet est non seulement actuel, mais il m’apparaît comme extrêmement urgent et il mérite bien que de nombreux cerveaux et que les bonnes volontés disponibles se mobilisent pour sa concrétisation.
Je souscris donc sans réserve à ce projet et te confirme par la présente ma participation à la première assemblée constitutive qui aura lieu le 10 juin ici à Genève.
Je te prie de bien vouloir trouver en annexe la Fiche de Renseignements pour les Membres Fondateurs dûment remplie.
En te remerciant encore une fois de cette expression sincère de solidarité, je te pris de croire, Maître et cher frère, à l’assurance de ma considération bien distinguée.
Cette organisation sera implantée à Genève grâce au Docteur Charles GRAVES de la CINPROS qui a voulu encadrer Martin MALUZA dès la mise en place du siège de Genève du CIRAC qui dépend juridiquement du Secrétariat Exécutif international installé à Paris.
En effet, le CIRAC est une Organisation Non Gouvernementale créée à Paris en juin 1988 (Journal officiel de la République Française du 03 Août 1988).
Pour la représentation au sein des Nations Unies, le CIRAC sera basée à Genève et obtiendra le statut consultatif à l’ECOSOC, après les problèmes de santé du Vice Président Charles Graves et mon indisponibilité à suivre les dossiers et mener à bien les activités dès novembre 2004, Martin MALUZA a été délégué pour assurer l’intérim. C’est ce qu’il a fait justement fait. A la création du Comité International pour le Respect et l'Application de la Charte Africaine des droits de l'homme et des peuples (CIRAC) en 1988, Martin MALUZA a toujours bien assuré ses fonctions de chargé des représentations nationales, ce qui lui a permis de nouer beaucoup de contacts.
Nous avions cependant condamné ses prises de positions et ses maladresses sur le droit à l’autodétermination et l’indépendance du Sahara occidental. Contrairement à la position affirmée de notre ONG qui a toujours soutenu les aspirations du peuple Sahraoui. A deux reprises une délégation du CIRAC conduite par Me MASSENGO-TIASSE Président du conseil d’Admnistration et Me Jean Michel SCHARR, Secrétaire Général du bureau exécutif de Paris avaient effectué deux voyages (1989 et 1990) et rencontré le président Mohamed ABDELAZIZ Secrétaire général du front Polisario, Président de la RASD.
Nous agissions conformément aux orientations et des positions du CIRAC en faveur des droits des peuples comme le précise la Charte Africaine dont nous assurons la promotion et veillons à la protection.
Le CIRAC depuis sa création s’est toujours opposé à la croisade annexioniste du Maroc qui revendique la récupération du territoire du peuple libre sahraoui.
Dernier territoire à décoloniser depuis 1975 selon l’OUA ; en 1976 le front Polisario s’autoproclame comme un Etat et siège en tant que membre de l’OUA. Au 20ème sommet de l’OUA le 12 novembre 1984 à Addis Abeba, le Roi Hassan II se retire de l’OUA.
Le 28ème sommet de l’UA se tient à Addis Abeba du 30 au 31 janvier 2017. Offensive de charme et chantage diplomatique du Maroc auprès des Etats membres. Pour réintégrer l’UA, il faut l’exclusion représentants du peuple Sahraoui au sein de cette organisation continentale ;
La position du CIRAC n’a jamais varié pour le soutien des peuples à l’autodétermination ; cependant l’équipe du CIRAC assurant l’intérim avait pris faits et causes de la position du Maroc, en totale contradiction avec les aspirations de protection des minorités dans le monde.
Un cessez-le feu avait été signé en 1991 entre le Maroc et le Polisario
Le conflit s’est ravivé depuis début novembre 2020, entraînant une soudaine recrudescence des violences et de l’alignement des troupes Marocaines le long de la frontière entre le Maroc et la Mauritanie en violation des accords de cessez-le-feu de 1991. Le prétexte au déploiement des troupes Marocaines est le contrôle sud de l’unique point de passage terrestre. Le Polisario estimant le blocage de cette route comme légitime.
Le CIRAC réaffirme son engagement d’être aux côtés des peuples qui luttent pour la liberté et la dignité des peuples dans le monde.
Il y a certainement beaucoup de bien à dire sur Martin MALUZA qui a tenu la maison CIRAC pendant notre indisponibilité due à nos charges d'avocat de parlementaire et de président du groupe Forum. Qu'il repose en paix. Nous ne l'oublions pas.
Dès que la situation sanitaire permettra la reprise des activités une nouvelle équipe sera mise en place et un nouveau représentant à Genève sera nommé ultérieurement. Les membres du CIRAC doivent se manifester auprès du président du Conseil d'Administration en s'adressant à maurice.mtiasse@frtdh.org
Le 28 novembre 2020.
Me Maurice MASSENGO-TIASSE
Président Fondateur du CIRAC
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