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(L'expression directe des Citoyens)
La jurisprudence Sassou appliquée au Togo. Appel à la mobilisation contre la réélection de Faure
Crée le 01/03/2020 à 14:53:28
Mis à jour le 01/03/2020 à 14:53:28

L'appel de Monseigneur Philippe Fanoko Kpodzro puisse soulever le tsunami qui emportera le régime togolais
Appel à la mobilisation contre la réélection de Faure : L'archevêque émérite veut-il se faire l'agneau du sacrifice?
Auteur: Le pays
Au Togo, l'annonce par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), de la victoire de Faure Gnassingbé, à la présidentielle du 22 février dernier, ne cesse de provoquer des vagues. Exception faite, en effet, des observateurs de l'Union africaine (UA) et de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) qui ont décidé de fermer les yeux sur les irrégularités du scrutin en délivrant, dès le 24 février, un blanc-seing au processus électoral, l'unanimité semble se faire entre certains leaders de l'opposition togolaise et de la société civile pour qualifier le scrutin de mascarade électorale. En effet, après la sortie du challenger malheureux du chef de l'Etat, Agbéyomé Kodjo, qui estime que les résultats ont été fabriqués, tronquant ainsi la vérité des urnes, c'est au tour de l'archevêque émérite de Lomé, Monseigneur Philippe Fanoko Kpodzro, de mettre en doute la victoire de Faure.
Le vieux prélat en a gros sur le coeur contre le satrape togolais
« J'ai suivi, dit-il, avec une grande indignation et vive consternation, la plaisanterie de mauvais goût que nous a servie la CENI sous ordre, la nuit dernière, en proclamant les soi-disant résultats du scrutin présidentiel du samedi 22 février 2020, qui ont donné gagnant le chef de l'Etat sortant, pourtant manifestement vomi par la population». Il appelle, de ce fait, le peuple togolais à se mobiliser de façon dynamique et décisive pour faire échec à la forfaiture qu'il a qualifiée de « manouvre grotesque et répugnante ». Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en lisant le communiqué du vieux prélat de 90 ans, on sent qu'il en a gros sur le cour contre le satrape togolais qu'il accuse de perpétuer une dictature vieille de 54 ans. Et l'on peut bien comprendre le ras-le-bol de l'homme d'Eglise. Et pour cause. Même si l'on peine à établir les preuves, il plane une forte odeur de fraudes sur ce scrutin organisé par le pouvoir togolais qui s'est fait une triste réputation en la matière. Et comme l'écrivait Ahmadou Kourouma, « le molosse ne change jamais sa manière éhontée de s'asseoir ». Ensuite, l'on peut comprendre la frustration et le fort ressentiment de l'archevêque du fait de l'exclusion de l'Eglise catholique du processus électoral par le régime togolais. Enfin, il faut inclure l'indignation de l'homme de Dieu dans le vaste mouvement de l'Eglise catholique qui, manifestement, s'accommode de moins en moins, des dictatures comme il a été donné de le constater en République démocratique du Congo ou même au Burkina Faso ou en Côte d'Ivoire. Peut-être est-il en train de naître, comme on l'a autrefois vu en Amérique latine avec « la théologie de la révolution », « une théologie de la démocratie » en Afrique noire. S'il faut saluer le courage du serviteur du Christ qui est monté au créneau sans porter de gants, l'on peut toutefois se poser la question suivante : ne prêche-t-il pas dans le désert ? Il existe, en tout cas, de sérieuses raisons de le croire. Car, les Togolais semblent essoufflés par la longue lutte qui a précédé les élections et qui visait à empêcher la modification constitutionnelle qui a permis à Faure Gnassingbé de se présenter à la dernière présidentielle.
On peut se poser des questions quant à la réaction du pouvoir togolais
Ensuite, face à un régime qui n'a d'autres arguments que l'arme de la répression et qui, de surcroit, peut s'adosser à une nouvelle légitimité que vient de lui conférer la victoire à une élection validée par les missions d'observations d'organisations africaines, l'on peut se demander s'ils seront nombreux les Togolais à vouloir offrir leurs poitrines comme chair à canon. Pire, l'opposition togolaise qui aurait pu saisir au bond la balle lancée par l'archevêque, ne présente pas un front uni. L'un dans l'autre donc, l'on peut douter que l'appel de Monseigneur Philippe Fanoko Kpodzro puisse soulever le tsunami qui emportera le régime togolais. Cependant, il ne faut pas totalement désespérer de la situation et continuer de croire au miracle. L'expérience des changements de régime, en Afrique, sous la pression populaire, montre que rarement, ce sont les partis politiques qui ont réussi à réaliser les insurrections mais plutôt l'action coordonnée de la société civile et de la jeunesse. De ce fait, l'on peut espérer que si l'opposition togolaise apparaît impuissante pour donner un vrai écho à l'appel du vieux prélat, la jeunesse togolaise prenne ses responsabilités. En attendant de voir de quoi sera faite la météo au Togo, l'on peut se poser des questions quant à la réaction du pouvoir togolais face à ce qui ressemble à une incitation à la révolte populaire. Va-t-il jeter aux fers le vieil homme au risque de lui attirer une forte sympathie populaire qui peut être fatale au régime ? Ou alors va-t-il lui assurer l'impunité au risque de lui faire des émules? En tout cas, tout laisse croire que le vieil homme a bien tissé son piège et espère être l'agneau du sacrifice dont le sang servira de ciment à la lutte pour mettre fin à la dynastie des Gnassingbé, en 2020, comme il l'annonce de façon prophétique dans son communiqué.
« Le Pays »
Togo : Que la VAR constitutionnelle achève le peuple ! Auteur: Godson KETOMAGNAN
« Loin de répondre à leur fonction de contre-pouvoir ultime et de gardien des valeurs de la démocratie, les Cours constitutionnelles, dans un grand nombre d'Etats africains, opèrent en qualité de bouclier ultime du pouvoir contre les citoyens » (Alexis Dieth)
Si les jeux olympiques pouvaient inscrire l'art de tripatouiller les résultats d'élections dans leurs disciplines sportives, le monde se rendrait compte qu'il est un pays qui rentrerait depuis dans le Guinness des records.
La soirée de dimanche 23 février n'a été que le remake de la prestation d'un certain Taffa Tabiou sur la même chaine de télévision togolaise. Au forceps, des résultats à la stalinienne ont été servis dans une célérité au peuple, histoire de mettre tout le monde devant le fait accompli. Que dira la VAR constitutionnelle?
Défini comme assistance vidéo à l'arbitre (Video assistance referee), ce nouveau système dans le sport a réduit considérablement les erreurs d'arbitrage. Et dans le cas des élections au Togo, il existe une VAR constitutionnelle chargée de visionner les actions et déterminer si le but dit marqué par l'assoiffé est ou non valable.
Mais tout comme quelqu'un a osé dire d'Alassane Ouattara et du franc CFA qu'ils sont trop vieux et devront prendre leur retraite, la VAR constitutionnelle au Togo est trop partiale pour dire que le but validé par l'arbitre borgne est entaché d'irrégularités. Parce que c'est à dessein que, contrairement aux recommandations de la CEDEAO qui demandait une recomposition de cette VAR, l'assoiffé de pouvoir a choisi de pratiquement reconduire la même équipe avec à sa tête le même vieux.
Et pourtant, des copies des procès-verbaux viendront en appui aux recours qu'introduira le candidat légitimement élu, mais illégalement recalé. Ou des rapports de bourrages d'urnes dans le septentrion et ailleurs. Ou même le vote par des mineurs avec cette vidéo montrant l'un d'entre eux glissant deux bulletins dans l'urne dans un bureau de vote.
Au nom de la « ventrologie » (entendez la politique du ventre ou mieux, de la panse comme pour des animaux), de supposés intellectuels, étudiants, députés, directeurs généraux ont tu leur savoir et se sont rangés du côté de l'oppresseur du peuple. Des présidents de CELI, juges de profession, ont fait allégeance à un système qui tire le pays vers le bas, juste pour des pécules. Ils n'ont que faire d'un peuple qui a faim, crie au manque d'opportunités pour sa jeunesse, végète dans les catacombes des indices de développement.
Elections sur fonds propres était le slogan ayant permis d'éloigner des regards trop incisifs d'observateurs. Mais même cette autonomie est un fake, les candidats n'ayant pas reçu ce qui était consigné dans le code électoral. Encore un mensonge. Pire, cinq des candidats ne reprendront plus leur caution, des scores epsiloniques leur ayant été attribués ! Comme quoi, le temps de la collecte a commencé.
Mais les faits sont là . Les entreprises continuent de mettre la clé sous le paillasson ou de réduire les effectifs. La morosité gagne. Les activités stagnent ; et lorsque les prix des produits augmenteront sous peu, il n'y aura pas de choisis. L'heure de la distribution automatique de billets est terminée. Allez, VAR constitutionnelle, parachève l'ouvre de la CENI borgne !
Godson KETOMAGNAN
Auteur: Le pays
Au Togo, l'annonce par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), de la victoire de Faure Gnassingbé, à la présidentielle du 22 février dernier, ne cesse de provoquer des vagues. Exception faite, en effet, des observateurs de l'Union africaine (UA) et de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) qui ont décidé de fermer les yeux sur les irrégularités du scrutin en délivrant, dès le 24 février, un blanc-seing au processus électoral, l'unanimité semble se faire entre certains leaders de l'opposition togolaise et de la société civile pour qualifier le scrutin de mascarade électorale. En effet, après la sortie du challenger malheureux du chef de l'Etat, Agbéyomé Kodjo, qui estime que les résultats ont été fabriqués, tronquant ainsi la vérité des urnes, c'est au tour de l'archevêque émérite de Lomé, Monseigneur Philippe Fanoko Kpodzro, de mettre en doute la victoire de Faure.
Le vieux prélat en a gros sur le coeur contre le satrape togolais
« J'ai suivi, dit-il, avec une grande indignation et vive consternation, la plaisanterie de mauvais goût que nous a servie la CENI sous ordre, la nuit dernière, en proclamant les soi-disant résultats du scrutin présidentiel du samedi 22 février 2020, qui ont donné gagnant le chef de l'Etat sortant, pourtant manifestement vomi par la population». Il appelle, de ce fait, le peuple togolais à se mobiliser de façon dynamique et décisive pour faire échec à la forfaiture qu'il a qualifiée de « manouvre grotesque et répugnante ». Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en lisant le communiqué du vieux prélat de 90 ans, on sent qu'il en a gros sur le cour contre le satrape togolais qu'il accuse de perpétuer une dictature vieille de 54 ans. Et l'on peut bien comprendre le ras-le-bol de l'homme d'Eglise. Et pour cause. Même si l'on peine à établir les preuves, il plane une forte odeur de fraudes sur ce scrutin organisé par le pouvoir togolais qui s'est fait une triste réputation en la matière. Et comme l'écrivait Ahmadou Kourouma, « le molosse ne change jamais sa manière éhontée de s'asseoir ». Ensuite, l'on peut comprendre la frustration et le fort ressentiment de l'archevêque du fait de l'exclusion de l'Eglise catholique du processus électoral par le régime togolais. Enfin, il faut inclure l'indignation de l'homme de Dieu dans le vaste mouvement de l'Eglise catholique qui, manifestement, s'accommode de moins en moins, des dictatures comme il a été donné de le constater en République démocratique du Congo ou même au Burkina Faso ou en Côte d'Ivoire. Peut-être est-il en train de naître, comme on l'a autrefois vu en Amérique latine avec « la théologie de la révolution », « une théologie de la démocratie » en Afrique noire. S'il faut saluer le courage du serviteur du Christ qui est monté au créneau sans porter de gants, l'on peut toutefois se poser la question suivante : ne prêche-t-il pas dans le désert ? Il existe, en tout cas, de sérieuses raisons de le croire. Car, les Togolais semblent essoufflés par la longue lutte qui a précédé les élections et qui visait à empêcher la modification constitutionnelle qui a permis à Faure Gnassingbé de se présenter à la dernière présidentielle.
On peut se poser des questions quant à la réaction du pouvoir togolais
Ensuite, face à un régime qui n'a d'autres arguments que l'arme de la répression et qui, de surcroit, peut s'adosser à une nouvelle légitimité que vient de lui conférer la victoire à une élection validée par les missions d'observations d'organisations africaines, l'on peut se demander s'ils seront nombreux les Togolais à vouloir offrir leurs poitrines comme chair à canon. Pire, l'opposition togolaise qui aurait pu saisir au bond la balle lancée par l'archevêque, ne présente pas un front uni. L'un dans l'autre donc, l'on peut douter que l'appel de Monseigneur Philippe Fanoko Kpodzro puisse soulever le tsunami qui emportera le régime togolais. Cependant, il ne faut pas totalement désespérer de la situation et continuer de croire au miracle. L'expérience des changements de régime, en Afrique, sous la pression populaire, montre que rarement, ce sont les partis politiques qui ont réussi à réaliser les insurrections mais plutôt l'action coordonnée de la société civile et de la jeunesse. De ce fait, l'on peut espérer que si l'opposition togolaise apparaît impuissante pour donner un vrai écho à l'appel du vieux prélat, la jeunesse togolaise prenne ses responsabilités. En attendant de voir de quoi sera faite la météo au Togo, l'on peut se poser des questions quant à la réaction du pouvoir togolais face à ce qui ressemble à une incitation à la révolte populaire. Va-t-il jeter aux fers le vieil homme au risque de lui attirer une forte sympathie populaire qui peut être fatale au régime ? Ou alors va-t-il lui assurer l'impunité au risque de lui faire des émules? En tout cas, tout laisse croire que le vieil homme a bien tissé son piège et espère être l'agneau du sacrifice dont le sang servira de ciment à la lutte pour mettre fin à la dynastie des Gnassingbé, en 2020, comme il l'annonce de façon prophétique dans son communiqué.
« Le Pays »
Togo : Que la VAR constitutionnelle achève le peuple ! Auteur: Godson KETOMAGNAN
« Loin de répondre à leur fonction de contre-pouvoir ultime et de gardien des valeurs de la démocratie, les Cours constitutionnelles, dans un grand nombre d'Etats africains, opèrent en qualité de bouclier ultime du pouvoir contre les citoyens » (Alexis Dieth)
Si les jeux olympiques pouvaient inscrire l'art de tripatouiller les résultats d'élections dans leurs disciplines sportives, le monde se rendrait compte qu'il est un pays qui rentrerait depuis dans le Guinness des records.
La soirée de dimanche 23 février n'a été que le remake de la prestation d'un certain Taffa Tabiou sur la même chaine de télévision togolaise. Au forceps, des résultats à la stalinienne ont été servis dans une célérité au peuple, histoire de mettre tout le monde devant le fait accompli. Que dira la VAR constitutionnelle?
Défini comme assistance vidéo à l'arbitre (Video assistance referee), ce nouveau système dans le sport a réduit considérablement les erreurs d'arbitrage. Et dans le cas des élections au Togo, il existe une VAR constitutionnelle chargée de visionner les actions et déterminer si le but dit marqué par l'assoiffé est ou non valable.
Mais tout comme quelqu'un a osé dire d'Alassane Ouattara et du franc CFA qu'ils sont trop vieux et devront prendre leur retraite, la VAR constitutionnelle au Togo est trop partiale pour dire que le but validé par l'arbitre borgne est entaché d'irrégularités. Parce que c'est à dessein que, contrairement aux recommandations de la CEDEAO qui demandait une recomposition de cette VAR, l'assoiffé de pouvoir a choisi de pratiquement reconduire la même équipe avec à sa tête le même vieux.
Et pourtant, des copies des procès-verbaux viendront en appui aux recours qu'introduira le candidat légitimement élu, mais illégalement recalé. Ou des rapports de bourrages d'urnes dans le septentrion et ailleurs. Ou même le vote par des mineurs avec cette vidéo montrant l'un d'entre eux glissant deux bulletins dans l'urne dans un bureau de vote.
Au nom de la « ventrologie » (entendez la politique du ventre ou mieux, de la panse comme pour des animaux), de supposés intellectuels, étudiants, députés, directeurs généraux ont tu leur savoir et se sont rangés du côté de l'oppresseur du peuple. Des présidents de CELI, juges de profession, ont fait allégeance à un système qui tire le pays vers le bas, juste pour des pécules. Ils n'ont que faire d'un peuple qui a faim, crie au manque d'opportunités pour sa jeunesse, végète dans les catacombes des indices de développement.
Elections sur fonds propres était le slogan ayant permis d'éloigner des regards trop incisifs d'observateurs. Mais même cette autonomie est un fake, les candidats n'ayant pas reçu ce qui était consigné dans le code électoral. Encore un mensonge. Pire, cinq des candidats ne reprendront plus leur caution, des scores epsiloniques leur ayant été attribués ! Comme quoi, le temps de la collecte a commencé.
Mais les faits sont là . Les entreprises continuent de mettre la clé sous le paillasson ou de réduire les effectifs. La morosité gagne. Les activités stagnent ; et lorsque les prix des produits augmenteront sous peu, il n'y aura pas de choisis. L'heure de la distribution automatique de billets est terminée. Allez, VAR constitutionnelle, parachève l'ouvre de la CENI borgne !
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