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(L'expression directe des Citoyens)
Les exécutions extrajudiciaires et les violations massives et graves des droits de l’homme sont perpétrées en Libye et en Côte d’Ivoire.
Crée le 21/03/2011 à 11:46:34
Mis à jour le 21/03/2011 à 11:46:34

Les panélistes de la rencontre de Genève le 16 mars 2011
Communiqué de presse
Réunies à Genève, le 16 mars 2011, dans le cadre de la 16ème session du Conseil des droits de l’Homme, les organisations de la société civile et de la diaspora ont analysé sans complaisance, la situation des droits de l’Homme après le cinquantenaire des indépendances des pays africains sur la thématique de la gouvernance, les processus électoraux et la transition.
Les intervenants de ce dialogue ont mis en exergue les acquis et les attentes des populations africaines face aux innombrables crises cycliques.
Au regard de la dégradation systématique de la situation des droits de l’homme dans plusieurs pays en général et particulièrement la Côte-d’Ivoire, la Somalie, la Libye, le Soudan, le Madagascar et la République Démocratique du Congo.
Aujourd’hui personne ne peut nier les signes patents du génocide dans certains Etats comme la Côte d’Ivoire et la Libye comme cela a été établi pour le Darfour au Soudan.
Les intervenants ont condamné :
1 – Le cycle spiral des crimes et des violences suivies d’impunité ;
2 – La corruption, les dénis publics, la spoliation du patrimoine et des ressources naturelles empêchant la jouissance effective des droits sociaux économiques et culturels ;
3 – La connivence réputée entre les Dirigeants africains et certains Etats intéressés aux ressources naturelles de l’Afrique annihile toute perspective d’avenir et de progrès socio économique.
4 – Les réformes constitutionnelles tendant à instituer des présidences à vie et la gouvernance dynastique.
Il est impérieux de rappeler le principe énoncé au 3ème considérant de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui stipule qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression.
La révolte des peuples d’Afrique et particulièrement de la Tunisie, l’Egypte et la Libye qui aspirent à plus de liberté et de dignité puise son fondement dans la déclaration universelle des droits de l’homme. C’est pourquoi nous défenseurs des droits de l’homme nous sommes pour l’application immédiate de la résolution 43/131 adoptée le 8 décembre 1988 et la résolution 45/100 du 14 décembre 1990 sur le devoir et droit d’ingérence. On ne peut pas laisser le régime de Kadhafi tuer les libyens. On ne peut pas laisser Laurent Gbgabo massacrer une partie de la population Ivoirienne.
Les exécutions extrajudiciaires et les violations massives et graves des droits de l’homme sont perpétrées en Libye et en Côte d’Ivoire. Deux nouveaux Rwanda sont en cours. Les Etats membres de l’ONU doivent refuser tous, le droit à l’indifférence, afin d’intervenir immédiatement dans ces pays et sauver ainsi des milliers de vies humaines exposées aux bombardements.
Pour nous l’ingérence immédiate dans ces deux pays s’avère urgente pour ne plus rééditer un autre génocide à l’échelle continentale.
Le droit à l’ingérence ne doit pas être instrumentalisé à des fins d’occupation d’un Etat souverain.
Nous mettons en garde les puissances occidentales nostalgiques contre toute tentative de récupération des aspirations légitimes du peuple Libyen à la liberté et à la bonne gouvernance.
Fait à Genève le 17 mars 2011
Réunies à Genève, le 16 mars 2011, dans le cadre de la 16ème session du Conseil des droits de l’Homme, les organisations de la société civile et de la diaspora ont analysé sans complaisance, la situation des droits de l’Homme après le cinquantenaire des indépendances des pays africains sur la thématique de la gouvernance, les processus électoraux et la transition.
Les intervenants de ce dialogue ont mis en exergue les acquis et les attentes des populations africaines face aux innombrables crises cycliques.
Au regard de la dégradation systématique de la situation des droits de l’homme dans plusieurs pays en général et particulièrement la Côte-d’Ivoire, la Somalie, la Libye, le Soudan, le Madagascar et la République Démocratique du Congo.
Aujourd’hui personne ne peut nier les signes patents du génocide dans certains Etats comme la Côte d’Ivoire et la Libye comme cela a été établi pour le Darfour au Soudan.
Les intervenants ont condamné :
1 – Le cycle spiral des crimes et des violences suivies d’impunité ;
2 – La corruption, les dénis publics, la spoliation du patrimoine et des ressources naturelles empêchant la jouissance effective des droits sociaux économiques et culturels ;
3 – La connivence réputée entre les Dirigeants africains et certains Etats intéressés aux ressources naturelles de l’Afrique annihile toute perspective d’avenir et de progrès socio économique.
4 – Les réformes constitutionnelles tendant à instituer des présidences à vie et la gouvernance dynastique.
Il est impérieux de rappeler le principe énoncé au 3ème considérant de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui stipule qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression.
La révolte des peuples d’Afrique et particulièrement de la Tunisie, l’Egypte et la Libye qui aspirent à plus de liberté et de dignité puise son fondement dans la déclaration universelle des droits de l’homme. C’est pourquoi nous défenseurs des droits de l’homme nous sommes pour l’application immédiate de la résolution 43/131 adoptée le 8 décembre 1988 et la résolution 45/100 du 14 décembre 1990 sur le devoir et droit d’ingérence. On ne peut pas laisser le régime de Kadhafi tuer les libyens. On ne peut pas laisser Laurent Gbgabo massacrer une partie de la population Ivoirienne.
Les exécutions extrajudiciaires et les violations massives et graves des droits de l’homme sont perpétrées en Libye et en Côte d’Ivoire. Deux nouveaux Rwanda sont en cours. Les Etats membres de l’ONU doivent refuser tous, le droit à l’indifférence, afin d’intervenir immédiatement dans ces pays et sauver ainsi des milliers de vies humaines exposées aux bombardements.
Pour nous l’ingérence immédiate dans ces deux pays s’avère urgente pour ne plus rééditer un autre génocide à l’échelle continentale.
Le droit à l’ingérence ne doit pas être instrumentalisé à des fins d’occupation d’un Etat souverain.
Nous mettons en garde les puissances occidentales nostalgiques contre toute tentative de récupération des aspirations légitimes du peuple Libyen à la liberté et à la bonne gouvernance.
Fait à Genève le 17 mars 2011
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