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Le Pasteur Ntumi accuse Sassou Nguesso de poursuivre des bombardements aveugles dans le pool :
Ajouté le 03/10/2016


Extrait du rapport sur les violations des droits de l'homme présenté au Conseil des Droits de l'homme et à la CPI

"Afin d’étouffer les manifestations sur tout le territoire de la République, le président Sassou Nguesso, décidera de déployer plusieurs unités de la force publique épaulée par les mercenaires étrangers. Dans le pool, région très proche de Brazzaville qui a voté à 97% contre le président Sassou, ce dernier lance une campagne de bombardement meurtrier sur les localités de cette région, sous le fallacieux prétexte de rechercher le Pasteur Ntumi, responsable désigné des attaques dans la capitale.
Ces bombardements qui persistent jusqu’à ce jour causent intentionnellement la mort et de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou mentale des populations.
Considérant que les droits de l’homme sont fondés sur la notion du respect de la dignité inhérente à la personne humaine. Ces droits sont protégés par le droit international et par la législation congolaise.
Il y a donc de reconnaitre la responsabilité des fonctionnaires de police, en tant qu’agents de l’application de la loi qui ont ignoré la dignité humaine et violé le caractère inaliénable des droits fondamentaux de toute personne.
Il s’agit ici d’une transgression flagrante du code de conduite éthique et légale de la police, qui repose donc sur le respect de la loi, le respect de la dignité humaine et, partant, sur le respect du droit international des droits de l’homme. Ce qui nous pousse à dire que toutes ces personnes coupables des crimes contre l’humanité doivent être entendues par la Cour Pénale Internationale (CPI). En ce qui concerne les bombardements du pool, les arrestations arbitraires, la torture systématique, les enlèvements et les attaques y compris celle en cours de programmation à la maison d’arrêt sont conçus et exécutés par les généraux : - Jean Dominique Okemba (Coordonnateur principal suivant directement les instructions de son oncle de Président Sassou Nguesso);
- Blanchard Okoï exécutant qui signe la validation des opérations en cours au pool ;
- François Osselé (Superviseur), La garde Républicaine (GR) composée actuellement de moitié par des mercenaires issus de certains pays de la région ;
- Général Nianga Mbouala Commandant des troupes au sol.
Les Colonels : Serge Oboa, Directeur général de la Direction générale de la sécurité présidentielle et responsable des opérations des hélicoptères chargés de bombarder le pool ;
- Germain akouangui ( Chef des opérations sur le terrain) ;
- Koumou Epota (charge des hélicoptères des bombes à larguer dans le pool) ;
- Nguino Blanchard (Commandant du GPC « Groupement Para Commando » d’où décollent les hélicoptères).
- Jules Moukala Tchoumou en tant que porte parole de la police il s’évertue de démentir toutes les opérations de violations des droits de l’homme de la force publique aux ordres d’un système tyrannique).
Il faut rajouter que les principaux responsables commanditaires stratèges politiques des entreprises de tortures orchestrés par le pouvoir en place sont :
- Sassou Nguesso lui même
- Aimé Emmanuel Yoka ;
- Pierre Oba,
- Zéphirin Mboulou,
- Firmin Ayessa,
- Richard Mondjo,
- Michel Ngakala,
- Oko Ngakala,
- Thierry Moungala avec le député Hydevert Aimé Mouagni, patron d’une milice privée, active dans deux opérations de nuit ayant pour mission d’enlever et d’exécuter Me Massengo-Tiassé d’une part à Mayanga le lundi 28 mars 2016 de 18h 45 à 22h 45 et d’autre part à l’hôtel Saphir où la descente de police soutenue par les supplétifs était censée rechercher des mercenaires ou des personnes suspectées de terrorisme."

Extraits du rapport sur la situation des droits de l'homme supervisé par Me Massengo-Tiassé



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